jeudi 29 mai 2014

L’Immonde (et) Laurent Zecchini

Laurent Zecchini est, semble t-il, journaliste ! Le quotidien du soir Le Monde, semble t-il, est censé quant à lui délivrer de l’information selon la déontologie de la profession. Les deux se sont alliés pour le pire de l’Etat d’Israël

Seuls les naïfs et les complices considéreront encore le correspondant à Jérusalem et le journal comme autre chose que des vecteurs de l’antisémitisme fleurissant actuellement en Europe.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.
 
Dans un article intitulé « La mort filmée de deux jeunes Palestiniens » le reporter dévalorise d’entrée les explications plausibles de Tsahal : 

« L'armée israélienne présente ses arguments habituels : cette vidéo diffusée sur Internet et sur les réseaux sociaux, montrant la mort en direct de deux adolescents palestiniens (…) est peut-être un montage, une manipulation ; les tirs sont peut-être venus du côté palestinien ; l'armée n'utilisait ce jour-là que des balles revêtues de caoutchouc ».

Zecchini, fort de son expérience sur le terrain l’assure. « Les faits, eux, sont indiscutables : Mohammed Abou Thahr et Nadim Nuwara, tous deux âgés de 17 ans, ont été tués par des tirs à balles réelles ».

Le jugement étant tombé, la sentence se doit d’être, sans retard, appliquée à cette ‘’armée de criminels’’.

Fort de son ‘’expertise’’, ‘’l’artiste’’ Zecchini s’en rappelle une autre. « La mort du petit Mohammed Al-Dura, âgé de 12 ans, tué par des tirs de l'armée israélienne, le 30 septembre 2000, au centre de la bande de Gaza : mêmes explications officielles, même polémique (toujours vivace) et des images semblables, qui avaient fait le tour du monde et avaient eu un effet accélérateur sur la seconde Intifada (2000-2005) ».

N’est-ce pas la preuve par neuf que l’Etat d’Israël, cet état du peuple juif est un état criminel ? Les naïfs et les complices répondront aussitôt ‘’bien sûr’’ !

Sauf qu’une nouvelle vidéo diffusée sur Internet et les réseaux sociaux montre combien ce journaleux et son employeur, mais pas seulement, se sont fourvoyés en accusant d’office le bouc émissaire de service.


Dans cette vidéo sont marqués de rouge les endroits où ont été commis les deux ‘’crimes’’ israéliens. Une fois les deux corps évacués, nul signe de sang n’est présent sur le sol. 

L’état du peuple juif aurait-il inventé, bien avant la ‘’mort’’ de Mohamed Al-Dura,  la balle mortelle ne faisant pas saigner ses victimes ?

Trouvaille qui serait génial pour les metteurs en scène ‘’palestiniens’’ oubliant toujours que le sang coule suite à une blessure, mais aussi pour les journaleux de la trempe de Zecchini n’ayant plus de mouron à ce faire d’une contre-enquête sérieuse.

Pour agrémenter cette gifle, une seconde vidéo montre un jeune ‘’palestinien’’ boitant car touché par une balle évidemment ‘’réelle’’, avant de retrouver, comme par magie, sa totale motricité. A n’en pas douter un miracle s’est produit deux minutes avant que le premier ‘’crime’’ ne soit commis au même endroit.  

mercredi 28 mai 2014

RTS et TV5 partenaires de l’antisémitisme ?

Le magazine Temps présent de la Radio Télévision Suisse (RTS) a intitulé son émission du huit mai 2014 « Bientôt un tueur dans le ciel suisse ? ». Un reportage, au titre marquant, repris goulument par TV5, et qui aborde l’achat suisse de six drones de fabrication israélienne. Une enquête à charge contre l’Etat d’Israël concluant que ce pays est un « pays à risque », « un pays soupçonné de crimes de guerre » et « ayant un régime semblable à celui de l’Afrique du Sud » au temps de l’apartheid.

Une conclusion faisant rêver le collectif B.D.S. qui a comme objectif d’empêcher cette transaction d’une valeur de quatre cents millions de Francs suisses.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Evidemment, tous les clichés néfastes et à charge contre l’Etat d’Israël sont repris. Tel « La bande de Gaza est le territoire le plus dense au monde » ce qui est faux mais fonctionne très bien dans l’imaginaire collectif. Ou encore « pour pénétrer ce territoire palestinien, il faut traverser par l’unique passage encore ouvert ».

Il s’agit ici du passage israélien. La frontière entre la bande de Gaza et l’Egypte étant complètement passée à la trappe de l’information pour le besoin de la cause devant faire pleurer dans les chaumières suisses, et d’ailleurs.

Les ‘’Palestiniens’’ sont dans une prison, point barre !

Après le choix des clichés, vient le choc des mots : « Des roquettes lancées sur Israël par des combattants de la bande de Gaza », « Un drone de l’armée israélienne a repéré trois activistes du Hamas sur le point de lancer une roquette ».

Sur qui atterriront ces roquettes est le moindre des soucis des ‘’journalistes’’ ! L’essentiel étant d’affirmer que les « combattants » et les « activistes » ne sont pas des terroristes quand bien même la population civile israélienne est terrorisée par ces missiles.

Un autre choix des tintins en quête anti-israélienne est de donner la parole à un ‘’bon’’ israélien nommé Yotam Feldman désireux de vendre son film anti-israélien The Lab, mais aussi au Conseiller national du PS Carlo Sommaruga. Des ‘’témoins’’ permettant le matraquage qu’Israël utilise les drones armés «massivement contre les Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie, des civils, des femmes, des enfants ont été déchiquetés à mort ».

Bill Van Esveld, sans doute un expert de l’ong Human Rights Watch, est un autre témoin à charge du document, lequel lui est posé LA question censée confirmer le reportage anti-israélien : « Peut-on parler de crimes de guerre ? ».

Sa réponse n’est pas sans saveur pour le quidam qui ne se laisse pas manipuler :

« Si nous parlons d’un cas où vous pouvez démontrer que la personne qui a tué est indifférente, qu’elle ne se souciait pas de savoir si la cible était civile ou militaire, alors on parle de crime de guerre ».

Si nul ne peut affirmer ni démontrer que la politique des différents gouvernements israéliens est indifférente ou insouciante des conséquences subies par la population ennemie, résultat de la guerre subie par le pays depuis sa renaissance en 1948, en revanche, la définition de Bill Van Esveld adhère parfaitement aux actions des « combattants et activistes palestiniens ». Tous indifférents et peu soucieux, y compris leurs représentants, du sort des civils israéliens visés froidement et intentionnellement.

Des ‘’combattants et activistes’’ qui sont donc de fait des criminels de guerre ayant comme seul objectif déclaré l’éradication de l’Etat du peuple juif.

lundi 26 mai 2014

L’antisémitisme européen a encore de ‘’beaux’’ jours devant lui

Le Président François Hollande a affirmé « la volonté de la France pour que tous les Juifs de France se sentent en parfaite sécurité et tranquillité ». Le Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a indiqué pour sa part qu’il « tient à réaffirmer sa détermination sans faille à combattre celles et ceux qui, par leurs actes meurtriers ou leurs paroles nauséabondes, propagent le racisme et l’antisémitisme et mettent à mal la cohésion dont notre société a plus que jamais besoin ».

Que doit donc être fait pour mettre un terme à ce qui semble devenir une routine contre les Juifs ?

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Avant tout acte, quel qu’il soit, vient la réflexion qui, elle-même, est servie par les idées. Tout acte antisémite est donc la résultante de l’addition des idées et de la réflexion qui en découle. Stopper l’abondance d’idées nauséeuses sur le peuple juif et sur l’Etat d’Israël aiderait, à coup sûr, à l’interruption de ces actes sanglants.

Ainsi, pour que les Juifs de France, mais aussi d’Europe, se sentent en parfaite sécurité et tranquillité il faut, en premier lieu, tarir la source de la haine que l’on trouve, sans retenue, dans les médias nourris par des intellectuels et des politiques drapés de l’antisionisme, paravent de l’antisémitisme.

Quelques exemples qui alimentent la haine de tout ce qui est juif :

Lorsqu’un terroriste, individu faisant acte de terreur sur des civils non armés, est tué par l’armée israélienne il est désigné par les médias comme « palestinien, militant, activiste », jamais de « terroriste ». Lorsqu’un bébé israélien vivant en Judée et en Samarie est assassiné froidement, il est qualifié de « bébé colon ». 

L’imaginaire faisant le reste, le terroriste est considéré alors par les lecteurs comme un civil assassiné, Tsahal comme une armée de brutes et le bébé comme responsable de son sort.

Le ‘’droit international’’ est lui aussi mis à contribution. Les « frontières de 1967 » et le « droit au retour » avec la résolution 194 entretiennent l’idée d’un pays occupé et d’un peuple expulsé de sa terre en 1948. Cesser de rabâcher ces contre-vérités permettrait de faire connaître le conflit pour ce qu’il est. A savoir, l’espoir du monde musulman d’éradiquer le seul état du peuple juif de la planète.

Stopper la diffusion du narratif mensonger de l’Autorité palestinienne aiderait également au retour du calme et de la tranquillité pour les Juifs européens.

« Jésus palestinien » alors que sur sa croix est inscrit INRI qui signifie Jésus de Nazareth Roi des Juifs.

 « Mur de séparation » en lieu et place de clôture de sécurité. Une barrière construite pour sa grande majorité en barbelé et destinée à ‘’séparer’’ les victimes israéliennes des assassins ‘’palestiniens’’.

 « Esplanade des mosquées », « troisième lieu saint de l’Islam » jamais cité dans le Coran et effaçant le Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme mentionné près de six cents fois dans les livres saints de cette religion.

« Palestine », pays ‘’occupé’’ alors qu’aucune encyclopédie n’a jamais recensé et décrit celui-ci autrement que comme une région s’étalant de la Méditerranée à l’Irak et de la Syrie à l’Arabie Saoudite. Ne pas rappeler que la Jordanie est peuplée d’Arabes de la Palestine mandataire participe à la montée de l’antisémitisme.

mardi 20 mai 2014

Un moment de la vie parlementaire d’Ahmed Tibi

Ahmed Tibi est un député arabe du parlement israélien, la Knesset. Un statut qu’il emploie pour nuire aux intérêts de l’Etat d’Israël, défendre les intérêts des ‘’Palestiniens’’ et propager leur narratif mensonger. Conseiller de feu Yasser Arafat et membre de la délégation palestinienne qui négocia les accords de Wye Plantation en 1998, il n’en désire pas moins rester citoyen israélien dans le cas où un état de « Palestine » serait créé.

Un désir qui en dit long !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

A la Knesset, les lundis sont réservés à la pléthore d’incontournables motions de censures contre les gouvernements. Ahmed Tibi a donc, au nom de son parti, déposé ce lundi la sienne qu’il a lui-même soutenu à la tribune. Au moment du vote, le député israélien, président du parti Raam-Taal était... absent. 

Délaissant sa motion, il a préféré participer à l’émission quotidienne et populaire des journalistes Yaron London et Moti Kirschenbaum, de la chaîne israélienne Aroutz 10, à un débat sur l’UNRWA et les « réfugiés palestiniens ».

La propagande d’abord !


Lors du débat, parmi tant d’autres âneries, il a d’abord tenu responsable l’Etat d’Israël d’avoir créé les « réfugiés ». Ce qui laisse coi tout quidam un tantinet connaisseur du conflit.

En effet, nul ne peut faire endosser cette responsabilité à ce nouvel état suite à sa déclaration d’indépendance invitant chaque citoyen, quelque soit sa religion, à prendre sa part dans le développement du pays. 

Les dizaines de milliers de ‘’Palestiniens’’ devenus « réfugiés » en 1948 auraient été, à n’en pas douter, des arabes israéliens heureux de vivre dans cet état que plutôt n’être, depuis, que de pauvres bougres malmenés servant une cause antisémite. Celle, toujours en cours, de l’éradication du seul état du peuple juif de la planète.

Les Arabes israéliens, par leur refus répétés d’un éventuel échanges de populations lors d’une éventuelle création de la « Palestine » sont des témoins vivants de cet état de fait !

La responsabilité de la création de « réfugiés palestiniens » et juifs est donc, par sa déclaration de guerre au tout jeune état, à imputer au monde musulman et à lui seul !

Lors du même débat, Ahmed Tibi s’est réjoui que ses contradicteurs ne mettent pas en doute le statut de « réfugiés » des centaines de milliers de ‘’Palestiniens’’ dispersés à travers la planète. Affirmation qui lui permet d’enfoncer sa ‘’vérité’’ qui se révèle, évidemment, être fausse suite à toute réflexion poussée.

Aucune loi, aucun droit international n’admet et n’attribue le statut de réfugiés à la descendance. A élargir cette disposition spéciale de l’UNRWA à toutes les populations, le monde deviendrait une terre de ‘’réfugiés’’ et le peuple juif serait le premier concerné. Chassé de partout et en premier lieu de sa terre ancestrale ce peuple se verrait confirmé, une nouvelle fois, dans son désir justifié de faire renaître son antique pays.

Les ‘’Palestiniens’’ seraient à l’instar de tous les autres peuples arabes reconnus, alors, comme étant des colons !

A la question de savoir si les réfugiés Juifs des pays arabes ont également droit à un dédommagement financier, Ahmed Tibi''charitablement'' , a souhaité leur accorder le même traitement espéré pour les « réfugiés palestiniens ». 

A savoir, un droit de retour, les poches remplies, dans le pays d’origine de leurs parents et grands-parents.

Proposition qui fait sourire si l’on sait que les israéliens absolument pro-‘’palestiniens’’ n’ont jamais envisagé un tel ‘’droit’’ pour eux-mêmes. 

Il y a une limite au ridicule !

vendredi 16 mai 2014

La Nakba, le cheval de Troie ‘’palestinien’’

Comme chaque année depuis la renaissance de l’état du peuple juif le 15 mai 1948, les ‘’Palestiniens’’ fêtent ce jour là ce qui est pour eux une catastrophe, la Nakba. A cette occasion, le Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a fait des déclarations qui permettent, à ceux qui savent lire entre les lignes, de jauger de son désir de paix.

Une ‘’paix’’ qui, après analyse, n’est rien d’autre que celle des cimetières pour les Israéliens.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Extrait du discours tenu :

« Le gouvernement israélien revient sur les accords et les engagements antérieurs et pose de nouvelles conditions exorbitantes, comme la reconnaissance de la judéité de l'Etat d'Israël, et a lancé une course contre la montre pour judaïser Jérusalem et étendre la colonisation » a déploré ce ‘’partenaire’’ pour la paix.

Tout quidam honnête s’interrogera donc quant à la qualité du gouvernement israélien qui devra, au final, signer la paix des braves ? Pourra t-il être le représentant de l’état du peuple juif ? Sera-t-il le représentant du peuple israélien désireux de voir son droit universel à un état à sa couleur reconnu par cet ennemi qui prétend à la paix ?

A priori non ! La ‘’paix’’ de Mahmoud Abbas n’accorde pas ce droit. Ni même de voir la veille ville de Jérusalem entre les mains du peuple qui l’a construit et vénéré depuis plusieurs millénaires.

Les Israéliens auront-ils un quelconque intérêt à signer cette ‘’paix’’ ?  

A l’instar du Premier ministre français Manuel Valls appelant les Israéliens « à prendre le risque de la paix » les Occidentaux répondront que oui ! Les conseilleurs n’étant pas les payeurs, nul n’en sera étonné !

Dans un article diffusé par le quotidien Haaretz, Saëb Erekat, le négociateur en chef de l’Autorité Palestinienne, y est allé également de sa petite ‘’vérité’’.

« Ce n'est pas à nous de définir le caractère d'Israël. Mais nous ne permettrons pas qu'un seul Palestinien soit présenté comme un immigrant ou un intrus sur sa propre terre ».

Pour cela, il s’appuie sur la résolution 194 de l’Assemblée générale de l’Onu. Celle-ci n’étant pas habilitée à émettre autre chose que des vœux, la revendication du « droit de retour » n’a donc aucune valeur juridique. 

Quand bien même l’Etat d’Israël serait disposé, au nom de la Paix, à y donner un sens, cette résolution ne fait nullement allusion aux descendants des réfugiés de 1948. Ceux-ci décédant au fil du temps, ce vœu de l’Onu s’effacera en conséquence d’ici peu.

Les ‘’Palestiniens’’ resteront donc, en regard du droit international, des étrangers en rapport de ce pays !

Persister en revanche à maintenir cette revendication n’est rien d’autre que le moyen de nuire au droit du peuple juif de disposer de son état sur la terre de ses ancêtres. 

mercredi 7 mai 2014

Les Juifs

Rien, ne change, hormis le nom de l'objet de leur haine. Le Juif s'est transformé en Sioniste et est donc, sous prétexte d'un narratif mensonger cachant son antisémitisme, condamnable à souhait.


En 1975, Philippe Clay espérait pour sa part un avenir meilleur à ceux à qui l'on trouvait beaucoup de défauts.


D'abord, ils ont un nez
Un nez, un drôle de nez
Et puis, un nom, un nom,
Un drôle de nom

Ils ont comme un accent
Oui, c'est ça, un accent
Un drôle d'accent qui fait...
Comment dire... pas français

On dit qu'ils ont d' l' argent
Oh oui, beaucoup d'argent
Qu'ils ont gagné comment?
Sûrement pas honnêtement
Ils sont toujours ensemble,
Qu'est-ce qu'ils complotent ensemble?

Et les commères disent
"C'est pas qu'on n' les aime pas, mais"
"C'est pas qu'on n' les aime pas, mais"

A propos... et le Christ?
N'oublions pas le Christ!
De Barabas et lui,
Lequel ont-ils choisi?
C'est vrai qu'en deux mille ans
Nous avons eu tout l' temps
De le recrucifier...
Oui, mais c'était après

C'est vrai qu'ils ont payé,
Qu'on leur a fait payer
Un peu trop cher... mais nous
On n'était pas dans l' coup
Nous, on ne voulait pas
Nous, on ne savait pas

Et tous les braves gens disent
"C'est pas qu'on n' les aime pas, mais"
"C'est pas qu'on n' les aime pas, mais"

Mais quoi... c'est le passé
Le passé... ressassé...
Pourquoi? pour des ragots
Ou bien quoi?... quelques mots
Sur les murs d'un métro
La porte d'un lavabo...
Il n'y a vraiment pas
De quoi fouetter un chat

Ils sont chez eux, d'accord,
Les autres aussi. Alors
Ça peut durer longtemps
Oui, mais pendant ce temps
Qui paiera l'addition?

Et au café Dupont
Les joueurs de belote disent
"C'est pas qu'on n' les aime pas, mais"
"C'est pas qu'on n' les aime pas, mais"

Mais moi, je me demande
Pourquoi toujours ce "mais"?
Mais moi, je vous demande
Quand cela va cesser!
Ils ont bien mérité
D'avoir enfin la paix
Et qu'on leur dise, comme
A tous les hommes:
Shalom! Shalom! Shalom!

dimanche 4 mai 2014

L’Etat d’Israël refuse, encore, la ‘’Paix’’

On ne le dira jamais assez ! La gauche, dont Charles Enderlin et un fervent adepte, ne voit la paix advenir dans le conflit proche-oriental que par la soumission totale de l’Etat d’Israël aux oukases du camp de ceux qui ont échoué à l’éradiquer. Dans un billet sur son blog reprenant un article de Nahum Barnéa, éditorialiste du Yediot Aharonot, il assure haut et fort que « Les américains rejettent la responsabilité de l’échec sur Israël ». 

Ce qui depuis l’an 2009, et l’élection de Barak Obama, n’est pas en soi une grande nouvelle et n’étonne que ceux qui le veulent bien.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Si dans ce billet l’on trouve les accusations contre l’Etat Israël, on y trouve, bien sûr, les « concessions de Mahmoud Abbas ».

«  La démilitarisation de la Palestine.
- Un tracé de la frontière laissant 80 pour cent des colons en territoire israélien.
- Laisser Israël des zones de sécurité (surtout dans la vallée du Jourdain) pendant cinq ans, les États Unis prenant ensuite la relève.
- Les quartiers de colonisation Juifs à Jérusalem Est resteront sous la souveraineté israélienne
- Le retour de réfugiés ne se ferait qu’avec l’accord d’Israël « Israël ne sera pas submergée de réfugiés ! » a-t-il dit ».

Un véritable plan de ‘’paix’’ ! Que nul, doté de logique, n’en rie !

Si la démilitarisation du futur état est la base minimum de tout accord, les ‘’concessions’’ du Président de l’Autorité palestinienne ne vont pas jusqu’à accorder la nationalité ‘’palestinienne’’ aux vingt pourcent des israéliens situés sur le territoire de ce nouvel état. Environ une centaine de mille. L’état à naître est donc destiné à devenir judenrein. Vidé, nettoyé de toutes présences de Juifs.

C’est pourtant de paix qu’il s’agit !

Ira-t-il jusqu’à détruire les synagogues comme le fit le Hamas dès sa prise de contrôle de la bande de Gaza ? A priori non, mais nul ne s’engagera pour ceux qui, à coup sûr, le déborderont alors !

Le grotesque étant que parallèlement le Président de l’AP refuse de reconnaître que le deuxième état soit, entre autres, celui de ces Juifs qui seront priés de déguerpir au plus vite ! La gauche, citant l’administration us, vous assurera pourtant qu’Abbas à fait des ‘’concessions’’ !

Si l’on ne s’appesantira point sur la relève US dans la vallée du Jourdain privant ainsi l’état hébreu, après les cinq premières années, de la seule surveillance efficace, le quidam éclairé notera que le Mont du Temple ne fait pas partie de ces ‘’concessions palestiniennes’’. Celui-ci devant se transformer, ad vitam aeternam, en « esplanade des mosquées ».

Ce qui n’offusquera pas le ‘’professionnel’’ de France 2 pourtant, paraît-il, juif.

Le comique de ces ‘’concessions’’ est l’assurance de Mahmoud Abbas que « Le retour de réfugiés ne se ferait qu’avec l’accord d’Israël ». « Israël ne sera pas submergé de réfugiés ! » a-t-il précisé !

Comique, risible est l’entêtement de vouloir créer un état purifié de Juifs et d’exiger corrélativement de voir sa propre population prendre la nationalité du pays voisin.

Ceci dit, les réfugiés de 1948 n’étant dorénavant qu’une poignée de quelques milliers, gageons que l’Etat juif ne se fera pas prié, à titre humanitaire et pour clore définitivement le conflit, de leur ouvrir ses portes.

Le hic étant que les réfugiés de 1948 ont enfanté des millions de petits ‘’réfugiés’’. Et, unique dans l’histoire du droit international, ces petits ont hérité du statut de leurs arrières grands-parents, voire de leurs ancêtres !

Et gag sur le gâteau de la ‘’paix’’, Israël serait seul à décider de leur retour ! Qui gagerait un kopeck sur l’accord à cette ‘’concession’’ du Hamas, du Djihad et de tant d’autres associations ‘’caritatives’’ ? Charles Enderlin et ses clones évidemment ! Soit une minorité de Juifs israéliens n’ayant aucun pignon sur rue. 

Quant à l’administration us actuelle, elle ne sera plus en poste pour parer au conflit qui reprendra à coup sûr de plus belle. Pour cause, bien sûr, du refus d’Israël de laisser retourner « chez eux les réfugiés » !

Un conflit qui démarrera aussitôt le retrait israélien terminé de la « Palestine » judenrein qui aura comme capitale ‘’Al-Qods’’ ! Evidemment !

jeudi 1 mai 2014

Aymeric Caron, symptôme du politiquement correct

Nul n’ignore dorénavant qu’Aymeric Caron est un chroniquer dans l’émission de Laurent Ruquier « On n’est pas couché » diffusé le samedi soir sur France 2. Un programme où créer le buzz est une obligation afin de satisfaire le téléspectateur inassouvi.

Et quoi de mieux pour cela que de s’appuyer sur le politiquement correct anti-israélien si présent sur cette chaîne publique nationale ?

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Si d’aucuns l’ignoraient encore,  « Israël tue des enfants palestiniens » ! Un parallèle fait par Aymeric Caron entre les enfants ‘’palestiniens’’ tués par les soldats israéliens lors d’opérations entreprises contre les terroristes ‘’palestiniens’’ et les meurtres de Mohamed Merah à Toulouse. Comparaison qui a estomaqué l’invité du jour Alexandre Arcady et contraint la réalisation à censurer cette affirmation grotesque !

Une récitation si caricaturale que même le présentateur vedette d’Al Jazeera, Faisal Al-Qassem ne s’aviserait pas à reprendre à son compte.

Bien au contraire !

Dans une émission télévisuelle récente diffusée sur une chaîne que nul ne peut qualifier de sioniste, il demande à ses invités et donc aux téléspectateurs pourquoi l’armée syrienne ne prend pas exemple sur l’armée israélienne ?


« Pourquoi ne pas apprendre de l’armée israélienne qui tente, avec de grands efforts, d’éviter de bombarder les zones habitées par des civils au Liban et en Palestine ? Le Hezbollah se réfugie intentionnellement dans les zones peuplées par des civils parce qu’il sait que les forces aériennes israéliennes ne bombardent pas ces zones. Pourquoi l’armée syrienne ne respecte pas les bâtiments des universités, des écoles ou des quartiers habités ? Pourquoi bombarde t’il même les zones de ses partisans ? »

« Quand l’armée israélienne veut briser une manifestation, elle utilise des canons à eau ou des balles en caoutchouc, pas des fusées ou des barils d’explosifs comme cela arrive à Alep aujourd’hui ».

En France, les ‘’journalistes’’, mais pas seulement, n’ont plus ces pudeurs. Leur religion est faite concernant les Juifs se défendant contre ceux qui rêvent à l’éradication de leur pays. Ignorants du conflit dans ses tenants et ses aboutissants, ces pigistes du politiquement correct anti-israélien alimentent entre eux leur vision de celui-ci. Ce qui leur fait dire, tôt ou tard, que l’Etat d’Israël « assassine froidement des enfants ‘’palestiniens’’ ».

Assertion que nul ne prend plus la peine de vérifier tant elle a endoctriné le ‘’bon peuple’’ !