mardi 30 décembre 2014

A droite toute !

Les ‘’Accords d’Oslo’’ sont l’œuvre exclusive de la gauche israélienne qui a cru, la main sur le cœur, que ceux-ci étaient le début de la paix. Sauf qu’à être seul à rêver, au final, deux décennies plus tard, ce traité n’aura servi que les intérêts de la partie ‘’palestinienne’’. 

Bilan octroyant la légitimité internationale pour l’une tout en isolant la seconde diplomatiquement cataloguée comme une ‘’occupante à la réputation infecte’’ que la planète se doit de combattre.

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Ainsi, la « Palestine » est dorénavant un ‘’pays’’ largement reconnu, ayant comme frontières celle de ‘’1967’’, Jérusalem avec sa veille ville comme capitale, et devant être judenrein car les « colonies » étant illégales au vu du ‘’droit international’’, les « colons » se doivent d’être rapatriés vers la métropole.

Seul le « droit au retour des réfugiés » au sein même de l’état hébreu n’a pas encore pris sa pleine place dans le subconscient public.

Si beaucoup d’Israéliens, toutes tendances politiques confondues, ont alors rêvé également, seule la gauche israélienne est la responsable, par son insistance idiote, de ce triste constat. 

Israël, en parallèle, n’est pas même reconnu à ce jour comme état nation du peuple juif !

Dernier ‘’exploit’’ d’une partie de celle-ci, parmi tant et tant d’autres, l’appel aux partis arabes de la rejoindre afin de former une alliance politique en vue des élections du dix-sept mars prochain.

Vraisemblablement pas pour défendre l’idée de l’Etat d’Israël comme refuge du peuple juif !

Face à cette gauche irresponsable et fétide, l’élection à venir a l’obligation d’être une correction à toutes ces dérives. Le prochain gouvernement se doit d’être à droite toute. Si le Likoud dirigera, les partis Baït Hayehudi, religieux, Coulanou et Israël Beiteïnou formeront, autour de celui-ci, un gouvernement assez homogène.

Opportunité permettant l’application d’un programme commun devant contenir les quelques bases succinctes suivantes servant l’intérêt général exprimé lors des élections :

- Israël, nation du peuple juif.

- Fin du pouvoir des juges, la Knesset ayant, seule, le mandat de légiférer.

- Interdiction faites aux personnes et/ou aux associations de soutenir des campagnes nuisant politiquement, économiquement et/ou sur le plan judiciaire au pays voire à Tsahal.

Ces trois projets de loi, bloqués jusqu’à présent au nom des ‘’droits de l’homme’’ mais au détriment des droits de la société israélienne, auront le mérite immédiat de limiter les interférences étrangères dans les intérêts israéliens. La gauche se trouvant alors, sous peine de procès publics, plus ou moins contrainte de respecter le choix de la majorité et donc la démocratie.

lundi 15 décembre 2014

La vision futuriste d’Israël de Zeev Sternhell

Zeev Sternhell, professeur de science politique et membre fondateur de « La paix maintenant », recevant la médaille d'officier des Arts et des Lettres des mains de l'Ambassadeur de France en Israël, a, dans son discours, précisé ce qu’est à ses yeux la nation. 

Une causerie qui n’a d’autre objectif que d’indiquer son farouche combat contre le projet de loi israélien, et de droite, établissant l’Etat d’Israël comme « Etat nation du peuple juif ».

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Un texte qui a plu, semble t-il, à Charles Enderlin qui l’a aussitôt partagé sur son blog. Faut-il en conséquence s’étonner que les informations données par ce ‘’professionnel’’ dépeignent l’Etat d’Israël toujours sous un mauvais angle ? 

Reportages et rubriques qui incitent, évidemment, les autorités françaises à ne décorer que les Israéliens qui paraissent être des ‘’humanistes’’ luttant contre l’extrême droite, voire le fascisme que l’on trouve, comme chacun s’en doute, à chaque coin de rue en ce pays !

En arrivant en France en 1946 à l’âge de onze ans, Zeev Sternhell découvre un pays qui est à ses yeux une « communauté des citoyens », avec ses « phénomènes extraordinaires, difficilement imaginables: la liberté et la laïcité » : « (…) un monde où l'on peut dire ce qu'on veut, où un journal dit le contraire de ce qu'affirme un autre et tous les deux ne craignent pas de trainer dans la boue ministres et députés, où les élections ne sont pas truquées et le mensonge et la peur ne gouvernent pas la vie de tous les jours. (…) une école où on ne sait rien des convictions religieuses des enfants et de leurs parents ».

Incontestablement, tout le contraire de ce qu’est, à son avis, une nation ! 

« Pour les nationalistes, la nation est comme un arbre dont chaque branche et chaque feuille ne doivent leur existence qu'à l'existence de l'arbre. Et cet arbre est planté dans un sol particulier, il en tire sa sève. La nation vient du fond des âges, ce n'est pas une société à actions à laquelle on adhère ou d'où l'on peut se retirer ou être exclu ».

A analyser ses propos sur la France de 1946, chacun aura du mal à y retrouver la France d’aujourd’hui !

- Peut-on y dire, de nos jours, ce que l’on veut ? Peut-on, par exemple, y blâmer librement l’Islam ou être pro-israélien ?

- Quels journal, radio ou chaîne télévisuelle, autres que communautaires, oseraient contredire la vision anti-israélienne et islamophile du politiquement correct ?

- Quels députés ou ministres oseront afficher leur islamophobie (leur peur de l’Islam) et se placer en défense de l’Etat du peuple juif avant de dénombrer les électeurs de leurs circonscriptions allant dans ce sens et leur assurant une réélection ?

- Une réaction compréhensible au vu du politiquement correct mensonger qui gouverne et qui diffuse à l’échelle nationale la peur dans le cœur de plus en plus de Juifs Français.

- Et pour finir, une école publique où seules les convictions musulmanes s’affichent sans peurs. Les croyances juives ne se retrouvant plus que dans les écoles privées de la communauté et les crèches, exemple parmi d’autres, voyant leurs interdictions dans les lieux publiques s’étendre au niveau national, écoles comprises.

mercredi 10 décembre 2014

Existe-t-il en Europe un Commissariat général à la question juive ?

Au sortir de la deuxième guerre mondiale, le peuple juif martyrisé s’est vu, enfin, reconnaître le droit à l’autodétermination sur une parcelle de ce que fut sa terre ancestrale. L’histoire nous raconte combien le monde musulman refusait ce projet ainsi que ses tentatives d’effacer, par la force, cette décision internationale.

Depuis, le temps a fait son chemin et, de nos jours, se pose la question de savoir si le peuple israélien, souverain au même titre que n’importe quel autre peuple, est mis, contre son gré, sous tutelle, principalement, européenne. 

Autrement dit, existe-t-il un bureau spécifique de la question juive en ce continent qui a tant fait pleuré ce peuple dans les siècles passés ?

A analyser quelques unes, parmi tant, de ses actions, il semblerait que oui !

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Quelques pays européens ont décidé de reconnaître unilatéralement, sans en discuter au préalable avec le gouvernement israélien librement élu, les frontières et la capitale de … l’Etat d’Israël. Les frontières seront celles de ‘’1967’’ et la Capitale ne sera pas Jérusalem et sa veille ville pourtant construite et célébrée au cours des millénaires passés par le seul peuple juif.

Tel-Aviv sonne mieux, semble t-il, aux oreilles européennes !

Pour bien faire comprendre sa détermination à résoudre le conflit, l’Union européenne a décidé de ‘’sanctions’’ exclusives à l’encontre de … « ce peuple d’élite, sûr de lui et dominateur ». 

Elle a décidé de limiter dans le programme-cadre de recherche Horizon 2020 l’accès aux financements et à la coopération aux seules entreprises israéliennes non basées et n’opérant pas au-delà de la ligne verte que d’autres nomment ‘’frontière de 1967’’.

‘’Frontière’’ inexistante ailleurs que dans les exigences ‘’palestiniennes’’ mais reprise si goulûment par les ‘’amis’’ qui veulent, évidemment, tant de bien au peuple juif !

Faut-il parler des commissions d’enquêtes internationales auxquelles l’Europe ne s’oppose pas et établies aux fins de sanctionner les ‘’crimes de guerres et contre l’humanité’’… israéliens ? 

L’armée du peuple juif usant et abusant lors de ses guerres de légitimes défenses, chacun le sait dorénavant, d’une force … ‘’disproportionnée’’ et luttant contre des terroristes qui n’existent pas dans le recensement des  ‘’victimes palestiniennes’’.

Liste effectuée grâce à la ‘’vigilance’’ pointilleuse de centaines de journalistes à la déontologie ‘’irréprochable’’ et situés en permanence en ce pays faute, probablement, d’événements dans le reste de la planète !

Tous des ‘’civils’’, si ce n’est des ‘’résistants’’ à la ‘’colonisation’’, à ‘’l’apartheid’’ et à la soldatesque des victimes du nazisme devenus, à leurs tours, ‘’bourreaux’’ ! Tous les journalistes, envoyés spéciaux ou permanents en Israël, certifieront, la main sur le cœur, cette ‘’réalité’’ !

dimanche 7 décembre 2014

Israël restera t-il le pays du peuple juif ?

Selon toute vraisemblance, l’Etat d’Israël est l’Etat du peuple juif ! La résolution 181 de l’Onu de novembre 1947, la déclaration d’indépendance du 14 mai 1948 et une majorité de la population de confession juive concourent à établir cette réalité. 

Pour quelles raisons donc se fait sentir le besoin, aux yeux de beaucoup de nationaux, d’inscrire dans la loi qu’Israël est l’état du peuple juif ?

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Pour mieux appréhender le sujet une comparaison devient nécessaire !

Depuis des centaines d’hivers les peuples européens fêtent Noël. Les sapins décorés et les crèches sont de sorties à chaque fin d’année. Une réjouissance, certes religieuse, mais qui avait la particularité d’enchanter la vision de chacun. 

Un rite qui, depuis quelques années, subit les assauts d’un laïcisme forcené mais également celui de l’Islam.

Depuis le Noël de 1988 Philippe de Villiers, Président du Conseil général de la Vendée, installe dans le hall de celui-ci un sapin et une crèche pour les enfants orphelins. Habitude qui a perduré bien après son départ de la présidence. 

Début décembre 2014, le tribunal administratif a interdit cette installation au nom de la ‘’neutralité des lieux publics’’.

L’école maternelle du Grand-Clos, à Montargis dans le Loiret, a déprogrammé la visite du Père Noël à la demande de parents musulmans. « Chaque année, des familles menacent de boycotter l’école, le jour de la visite du Père Noël » a déclaré l’adjoint au maire de Montargis

Il semble donc que cette année, ils ont gagné, la directrice de l’école a cédé.

On pourrait multiplier les exemples démontrant que la France, parmi d’autres pays européens, perd sa culture, sa tradition et ses valeurs. Si en 1905 la loi sur la laïcité se comprenait aisément, aujourd’hui elle sert de levier à la perte du pays. Les Français si fiers de leur patrie se reconnaissent de moins en moins en elle de nos jours.  

Beaucoup la quittent, notamment de nombreux Juifs immigrant vers Israël.

jeudi 4 décembre 2014

Benjamin Netanyahou sera le prochain Premier Ministre

Le 17 mars 2015 se tiendront des élections législatives à même de former une nouvelle coalition israélienne. Chaque électeur suppute, voire espère que son candidat l’emportera aux fins de conduire la politique prônée. 

Lors d’une conférence de presse, Yaïr Lapid ministre démissionné et chef du parti Yesh Atid (il y a un avenir) a affirmé aux journalistes, en leur demandant de le regarder dans les yeux : « Benjamin Netanyahou ne sera pax celui qui formera la prochaine coalition ».

Ce qui sous-entend qu’il ne s’opposera pas à une association avec le Likoud pour former son gouvernement le cas échéant. 

Si l’espoir fait vivre les idées les plus comiques, qu’en sera-t-il réellement au soir des élections ?

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Un petit calcul mathématique aidera à y voir clair !

Selon les derniers sondages, l’addition Likoud et Baït Hayehudi fait trente-neuf sièges. A cette alliance incontournable on peut ajouter les onze sièges généralement acquis par les partis arabes qui demeureront, quoi qu’il en soit, dans l’opposition. Sur les cent-vingt élus, il n’en reste donc plus que soixante-dix qui autoriserait une coalition majoritaire.

Chacun connaissant l’acrimonie existante entre les partis religieux Yaadout Hatora et Shass d’une part et Yesh Atid d’autre part, seule l’hypothèse que la somme des deux partis religieux ne dépasse pas neuf sièges permettra à cette coalition d’exister avec les soixante et un députés restant.

Autre scénario plausible, celui où c’est Yaïr Lapid qui ne recueillera pas plus de neuf sièges et qu’il passera la législature dans l’opposition.

Encore faut-il avoir l’imagination débordante pour concevoir qu’Israël Beiteïnou d’Avigdor Libermann et Meretz de Zahava Galon siègeront ensemble au gouvernement. Voire les religieux avec cette dernière, laïque forcenée.

On en viendra presque à regretter alors la coalition actuelle !

Quelque soit l’angle où l’on analyse les prochaines élections, il est impossible de suggérer une coalition homogène et stable sans les partis Likoud et Baït-Hayehudi.

lundi 1 décembre 2014

La France et l’Europe sous perfusion d’un narratif antisémite

La France, par le truchement de son parlement et suite à d’autres pays européens, se presse de reconnaître symboliquement l’état de « Palestine ». 

Une reconnaissance qui fait totalement fi des droits du deuxième belligérant de ce conflit, à savoir l’Etat d’Israël,et une légitimation qui, de fait, veut imposer à ce dernier des frontières internationales ainsi que le partage de sa capitale Jérusalem.

Le tout, bien sûr, sans aucune négociation !

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Une décision politique politicienne qui illustre le peu de considération accordée à ce pays allié, démocratique et respectueux des droits de l’homme. 

Une conduite réservée de tout temps aux pays colonisés ou débiteurs des puissances de ce monde. 

Une manœuvre politique que nul ne retrouve dans aucun autre conflit actuel mais qui rappelle, curieusement, le comportement exclusif réservé aux Juifs européens dans les siècles passés.

Une attitude qui affirme qu’aux yeux de certains l’Etat du peuple juif n’est pas un état souverain !

Cette posture européenne pourrait avoir quand même du bon et être examinée comme promouvant la paix si elle était fondée sur l’historique réel de la région, des faits avérés et vérifiables ou encore un droit international précis et sans ambages.

Ce qui n’est absolument pas le cas ! Cette décision française, et qui semble devenir européenne, n’est rien d’autre qu’une prime accordée à la falsification et à la propagande idéologique antisémite.

Aucun des députés, la plupart de gauche et soudain si pressés de voter en faveur de la « Palestine », n’est en mesure de raconter l’historique de ce pays. 

Pas même le passé du « peuple palestinien » avant 1967. 

Ni même de citer une seule résolution du droit international, si souvent brandi, attestant la propriété de ce peuple sur un quelconque territoire dans la région, voire ailleurs.

Ces élus en sont même à éliminer de l’équation la résolution 242 du Conseil de Sécurité adoptée le 22 novembre 1967 qui a force de loi internationale et qui exige le seul « retrait DE territoires » par l’Etat d’Israël. Evacuations de territoires que l’Etat du peuple juif a déjà effectué, dans le Sinaï mais aussi dans la bande de Gaza, et est encore prêt à en réaliser en échange d’une paix réelle et définitive.

L’exigence arabe d’une « Palestine » judenrein est également balayée par ces bons apôtres pro-‘’palestiniens’’. Vie juive qui rappellerait incontestablement sa présence plurimillénaire en ces lieux dénommés Judée et Samarie

Deux noms que le droit international a repris dans la résolution 181 du 29 novembre 1947.

La revendication d’un « droit de retour » de centaines de milliers de « réfugiés » n’est, elle aussi, pas même évoquée par l’un d’entre eux. Broutille que L’Etat d’’Israël devra évidemment surmonter une fois la ‘’paix française’’ installée.

Deux ‘’détails’’ qui n’intéressent apparemment pas les élus gauchistes français !

La France se dit être une alliée et une amie de l’Etat d’Israël ! Au nom de quels principes et de quelles réalités la France s’octroie t-elle le droit d’agir de la sorte ?

Comment jauger cette attitude peu amicale qui s’aligne, sans la moindre honte, sur le narratif mensonger et antisémite du monde musulman ?

Comment expliquer cette vilenie autrement que par les intérêts politique, économique et diplomatique français bien compris par tous, mais aussi par une grande lâcheté et un zeste d’attitude haineuse envers le peuple juif ?

Posture qui rappelle un passé pas si lointain et une analogie avec les accords de Munich de 1938 abandonnant aux nazis une partie de la Tchécoslovaquie sans presque rien demander en échange, sinon de vagues promesses de paix.

A son retour en France, Edouard Daladier, alors Président du Conseil des Ministres et de gauche, est persuadé qu’il sera hué pour avoir cédé. A sa grande surprise, à la descente de l’avion au Bourget il est vivement acclamé pour avoir ‘’sauvé la paix’’.

Sa réaction spontanée fut « Ah les cons ! S'ils savaient ! ».

vendredi 28 novembre 2014

Le ‘’racisme’’ d’Amir Benayoun

Le chanteur israélien Amir Benayoun a commis, aux yeux de certains, ‘’l’irréparable’’. Il a écrit et chanté une chanson qui s’en prend à « Ahmed (qui) aime Israël » et rêve de devenir ‘’martyr’’ afin de rejoindre les soixante-douze vierges promises par le Coran

Ahmed désire « Envoyer un Juif ou deux en enfer » en leur plantant « une hache aiguisée dans le dos » ou en leur ‘’tirant directement dessus’’. Voire songe à faire exploser les ballons de gaz de l’école maternelle située près de son lieu de travail.

Pour certaines personnes ce texte est raciste ! L’est-il ?


Selon Yariv Oppenheimer, secrétaire général de Shalom Ahshav, ou encore Muhammad Baraké, député du parti communiste Hadash, il suffit de changer le prénom Ahmed en un prénom aux consonances juives, tel David, Salomon ou Isaac, pour s’apercevoir du degré de racisme que contient cette chanson.

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En effet ! Chanter que David ‘’rêve d’envoyer un civil musulman ou deux en enfer en leur plantant une hache dans le dos, en leur tirant dessus ou en faisant exploser des ballons de gaz’’ est antisémite au possible car nul Juif de par le monde n’a cette pratique. 

Et quand bien même, il serait aussitôt jugé et condamné par le peuple juif dans sa quasi-totalité. Et certainement arrêté et expédié en prison pour le restant de ses jours par les autorités israéliennes si ce crime a lieu sur son territoire.

Saines réactions qui n’ont pas lieu dans le monde musulman. Bien au contraire !

Des masses, peu négligeables, applaudissent et fêtent les actes barbares dénoncés dans cette complainte ou similaires. Certains distribuent dans les rues des friandises dès l’acte commis et connu. 

D’autres rémunèrent les criminels et/ou leurs familles à vie, voire tente d’en tirer un bénéfice politique dans le but de nuire davantage aux victimes.

Deux comportements opposés !

S’il est bien sûr évident qu’une majorité de musulmans, par trop silencieux, ne sont pas des Ahmed, voire en sont écœurés, il n’en reste pas moins que celui-ci est un ‘’bon musulman’’ respectant à la lettre une lecture des mœurs et coutumes ayant lieu dans l’Islam depuis des centaines d’années.

Le dire n’est donc pas raciste !

mercredi 26 novembre 2014

Pour ou contre Israël « Etat nation du peuple juif » ?

Le gouvernement israélien a validé un projet de loi fondamentale visant à définir l’État d’Israël comme « l'État national du peuple juif ». Un texte qui prévoit, évidemment, que le régime demeurera démocratique et que tous les citoyens seront égaux devant la loi.

Texte qui cependant remue la société israélienne, les opposants assurant tous, la main sur le cœur, qu’ils sont pour, mais….

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A peine voté en conseil des ministres, ce projet de loi, qui doit encore être amendé puis approuvé par le parlement, et est censé n’intéresser que les citoyens israéliens, a été vertement condamné par l’Organisation de Libération de la Palestine (l’OLP), organisation, comme chacun le sait, ‘’gorgée d’amour, de tolérance et de paix’’ :

- Ce texte vise « à tuer la solution à deux Etats, en imposant le projet de ‘Grand Israël’ et la judéité de l’Etat sur le sol de la Palestine historique ».

- « En faisant de la judéité la définition de cet Etat, ce projet de loi met fin unilatéralement à la reconnaissance réciproque conclue en 1993 » lors des accords d’Oslo sur l’autonomie des Palestiniens.

Outre la dénonciation du « racisme idéologique » de ce texte, il est une « tentative de distordre et de faire mentir la version palestinienne de l’Histoire et d’effacer la présence palestinienne ».

S’il est voté, celui-ci mettrait fin au ‘’droit au retour des réfugiés palestiniens’’ et exonèrerait « l’occupation de sa responsabilité dans la tragédie humaine et les crimes historiques contre les réfugiés palestiniens ».

De son côté, le gouvernement d’union ‘’palestinien’’ a estimé qu’avec ce projet l’Etat d’Israël « annonce clairement la construction d’un Etat d’apartheid contre les Palestiniens » et crée « un précédent pour de nombreuses lois racistes, particulièrement au moment où se répand l’extrémisme et le racisme en Israël ».

A lire les réactions hostiles ci-dessus, nul israélien ne pourra plus douter du bienfondé de ce projet de loi !

Mais y a-t-il réellement besoin d’une telle loi inscrite dans le marbre du code civil ?

Y a-t-il doutes et craintes sur la quintessence d’icelui et/ou de son avenir comme refuge du peuple juif ?  

Une interrogation qui inquiète nombre d’Israéliens !

L’appréhension très réelle n’est autre que celle de voir, un jour futur, un gouvernement dirigé par une certaine gauche ‘’pacifique’’ et n’ayant comme préoccupation première que la défense des droits de l’homme poussée à l’extrême et oublieuse des droits du peuple juif sur sa terre.

Une administration qui serait prête, à tous prix, à complaire et à satisfaire les ‘’amis’’ du pays, mais également assoiffée de ‘’paix’’ jusqu’en accepter le narratif mensonger et les conditions des ‘’Palestiniens’’, notamment le « droit de retour de centaines de milliers de réfugiés » au sein même de l’Etat d’Israël sans y voir cependant de mal à la création d’une « Palestine » judenrein.

jeudi 20 novembre 2014

Elie Barnavi, l’idiot utile de l’Humanité

Elie Barnavi, ex-ambassadeur d’Israël en France, historien et écrivain, fait parti des 660 signataires israéliens appelant les gouvernements européens à reconnaître un état de « Palestine ». Le quotidien L’Humanité l’a interrogé. A lire ses réponses chacun restera coi devant son manque de discernement.

A croire que la gauche ne vit que d’espoir et qu’il ne lui reste que la possibilité de tordre la réalité pour perpétuer celui-ci.

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A la question « (…) Une telle reconnaissance, leur dites-vous, ferait avancer la cause de la paix » le signataire de JCall répond : « Nous voulons encourager ces parlementaires à adopter une position claire. Sans État palestinien à nos côtés, c’est l’avenir même d’Israël qui est compromis ».

La grande majorité des Israéliens est d’accord avec cette affirmation. Mais de quel état parle t-on ? Un état dirigé par le Hamas ? Par le Fatah ? D’autres organisations ne songeant qu’à l’éradication de l’état du peuple juif, sinon par la force, par un ‘’droit de retour’’ de centaines de milliers de ‘’réfugiés’’ au sein même de l’Etat d’Israël ?

Elie Barnavi, le « patriote » comme il se définit dans l’entretien, a-t-il seulement songé demander aux différents gouvernements européens d’inclure, dans leur reconnaissance, l’abandon de cette exigence ‘’palestinienne’’ ainsi que l’obligation que l’état à naître soit un état démocratique ?

Détails insignifiants à ses yeux semble t-il !

Autres réponses :

« Sans une pression politique extérieure très forte pour tracer des frontières claires, définir des paramètres et forcer les parties à les endosser, il n’y aura pas de paix dans cette région du monde ».

L’Europe aura-t-elle la volonté et surtout les moyens d’imposer l’abandon du ‘’droit de retour’’ au monde musulman ? Que la « Palestine » ne devienne pas un état judenrein ? Que l’esplanade du Mont du Temple soit également ouverte aux Juifs désireux d’y prier ?

Qui pourrait garantir de nos jours une réponse positive à ces trois demandes basiques ? Personne !

Inutile, évidemment, à ce stade d’aborder les questions de sécurité.

« Ipso facto, cela rendrait l’occupation illégale. Elle l’est déjà, mais cela deviendrait évident aux yeux de tous. Israël serait reconnu comme occupant le territoire d’un État souverain. »

Ce qui augmentera de manière significative les pressions et la justification de sanctions sur l’Etat d’Israël pour que celui-ci se retire jusqu’aux ‘’frontières de 1967’’ et donc de la veille ville de Jérusalem. Le tout sans négociations et, de surcroît, sans recevoir la moindre reconnaissance ‘’palestinienne’’ et de ses mentors de son propre statut d’état du peuple juif !

Ce qui, à n’en pas douter, fera avancer la ‘’paix’’ dans la région !

« (…) il n’y a pas de partenaire de notre côté non plus. Le gouvernement dirigé par Benyamin Netanyahou est incapable de songer à négocier sérieusement la paix »

L’électeur israélien étant celui qui nomme ses gouvernants, chacun se demandera pour quelles raisons Elie Barnavi et ses amis politiques du même bord sont encore dans l’opposition et non pas aux manettes de l’état à manœuvrer pour la paix ?

Est-ce pour la simple déduction que la vision de ce bord politique est irréaliste, voire dangereuse pour l’avenir du pays ? A coup sûr !

Le reste est à l’avenant.

dimanche 16 novembre 2014

Goebbels a dit la vérité, le mensonge paie

Plus le mensonge est gros, plus il est répété et plus il deviendra la vérité. C’était la spécialité du Ministre du III° Reich Joseph Goebbels. Ministre à l’Éducation du peuple et à la Propagande. Méthode que l’on peut indubitablement lier aux techniques modernes de la manipulation des masses ainsi qu’aux pressions employées par le monde musulman pour promouvoir le ‘’peuple palestinien’’.

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Le résultat est à la hauteur des attentes. Si des dizaines de pays ont déjà reconnu la « Palestine », les européens, derniers écueils à cette légitimation internationale, s’empressent de nos jours, les uns après les autres, de reconnaître ce pays.

Un pays pour les ‘’Palestiniens’’, peuple victime, selon la doxa, « d’occupation, de colonisation, de transfert, d’apartheid, etc. » de la part de l’Etat d’Israël.

Un peuple qui serait ‘’dépossédé de son territoire ‘’ancestral ’’ depuis 1948, au passé historique plurimillénaire, et qui accepterait, au nom de la paix, un partage de la Palestine historique avec les juifs’’. 

De quoi satisfaire le cahier des charges européen construit, paraît-il, sur les droits de l’homme.

La morale est donc sauve ! Mais qu’en est-il réellement ?

Bien incapable serait l’européen, désireux d’apporter sa solution au conflit, de produire la moindre preuve confirmant la propriété, l’histoire et la volonté de paix actuelle du peuple ‘’palestinien’’ !

Au tribut de la vérité vient participer, bien involontairement, l’édition de 1939 du Larousse illustré. Dans la page des drapeaux nationaux on y trouve le drapeau de la Palestine. L’étendard arbore fièrement l’Etoile de David, emblème par excellence du peuple juif.


Quid donc du peuple ‘’palestinien’’ ? Quid de son drapeau, preuve par neuf de l’existence d’un peuple et de sa présence sur le territoire ?

Devant cette carence logique et criante, faut-il céder en conséquence à la propagande antisémite qui exige que Jérusalem-Est soit la capitale de l’état d’un ‘’peuple’’ dont chacun peine de nos jours à démontrer sa réalité historique ? 

Un matraquage incessant qui a vu le Mont du Temple se faire débaptiser en ‘’Esplanade des mosquées’’ par les journalistes et les politiques occidentaux, ou encore des animateurs de jeux télévisuels assurer à l’antenne que « Jérusalem n’est pas la capitale de l’Etat d’Israël » !

Faut-il, de surcroît, attribuer les « frontières de 1967 » au ‘’peuple palestinien’’ inventé et qui ne doit son existence qu’au seul combat de délégitimation exercé à l’encontre des droits du peuple juif sur sa terre ancestrale et qui a, quant à lui, un passé plusieurs fois et incontestablement millénaire ?

Comment qualifier ces européens qui, face à ces faits incontournables, poursuivent l’objectif de la création d’une « Palestine » au détriment des intérêts basiques de la nation juive ? 

Comment désigner ceux qui pensent même lui imposer des sanctions au niveau européen si elle ne plie pas à l’injonction internationale ?

Comment expliquer et qualifier à notre époque cette ardeur européenne à vouloir reconnaître la « Palestine » alors que les Kurdes, les Kabyles ou encore les Tchétchènes, peuples connus et reconnus, sont toujours dans l’attente d’aide de l’Europe à leurs désirs d’indépendances ?

jeudi 6 novembre 2014

Shimon Pérès, symbole de la gauche nocive

Comme chaque année depuis dix-neuf ans, l’anniversaire de l’assassinat d’Itshak Rabin (z’’l) est commémoré. Ce premier novembre il y eut plus de dix mille personnes rassemblées à Tel-Aviv pour y entendre plus ou moins les mêmes invités y prononcer plus ou moins les mêmes discours. Tous indiquant plus ou moins le refus des absents à la paix. 

A croire que la très grande majorité du peuple israélien, par son choix législatif répété et -selon tous les sondages- son entêtement à n’en pas changer, est contre cette paix !

La réalité est évidemment toute autre !

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L’ex-président Shimon Pérès et prix Nobel de la Paix en 1994 en compagnie du ‘’pacifiste’’ Yasser Arafat, s’est fait un plaisir de critiquer indirectement le gouvernement de Benjamin Netanyahou.

«Ceux qui ont renoncé à chercher à faire la paix sont des naïfs, qui vivent dans l'illusion et ne sont pas patriotes». Sûr de ne pas être contesté par les manifestants, il rajouta : « Il est dommage que la seule initiative de paix soit arabe. Où est l'initiative de paix israélienne? (...) Dans le monde le temps joue contre nous ».

Qu’est-ce cette « paix arabe » proposée en 2002 ?

- Retrait intégral « des territoires arabes occupés, y compris le Golan syrien, jusqu’à la ligne du 4 juin 1967, et des territoires du Sud-Liban qui sont encore occupés ».

- « solution juste et agréée au problème des réfugiés palestiniens conformément à la Résolution 194 (III) de l’Assemblée générale des Nations unies ».

- acceptation de la « création d’un État palestinien indépendant et souverain dans les territoires palestiniens occupés depuis le 4 juin 1967 en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, avec pour capitale Jérusalem-Est ».

Faut-il comprendre que Shimon Pérès est prêt à abandonner la veille ville et le Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme ? A accepter le principe d’un « droit de retour de réfugiés » au sein même de l’état du peuple juif ? 

Deux exigences ‘’palestiniennes’’ que les Israéliens refusent absolument.

A contrario, y a-t-il un quelconque espoir que le monde arabe renonce à l’exclusivité de Jérusalem et se contente uniquement de la création de la « Palestine » pour y loger tous les « réfugiés » ?

En fait, seuls les ‘’naïfs, ceux qui vivent dans l’illusion et qui ne sont pas patriotes’’ oseront opposer le « plan arabe » aux plans de paix d’Ehud Barak de l’an 2000 et d’Ehud Olmert en 2008. Deux plans ayant eu le mérite d’assurer la création d’une « Palestine » reconnaissant l’Etat d’Israël comme état du peuple juif. 

Deux plans de paix proposés mais rejetés par l’Autorité palestinienne car refusant, jusqu’à ce jour, le droit à l’autodétermination au peuple juif.

Deux propositions israéliennes que l’ex-président aurait oubliées ! Est-ce l’âge ? A le voir partout et à tout sujet, on en douterait !

vendredi 31 octobre 2014

Les idées préconçues anti-israéliennes de Charles Enderlin

Armin Arefi, journaliste au Point, veut comprendre pourquoi la flambée de violence actuelle à Jérusalem était « inévitable ». Pour ce faire, il fait appel dans un article intitulé « Charles Enderlin : "Le sionisme religieux a phagocyté toutes les institutions d'Israël" » au grand, très grand professionnel, envoyé permanent de France 2 dans la capitale de l’Etat d’Israël.

Chacun se doute des réponses responsabilisant totalement cet état et ses habitants, uniquement juifs bien sûr. Leurs lectures ne décevront que les ignorants !

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Pour placer le sujet, Armin Arefi plante le décor dans son introduction : « (…) la tentative d'assassinat par un militant palestinien du rabbin ultra-sioniste Yehuda Glick. Cette figure de l'extrême droite israélienne (…) ».

L’extrême droite n’étant pas en odeur de sainteté en France, chaque lecteur comprendra, en son for intérieur, la nécessité de cette tentative, ratée à l’heure actuelle. Un « extrémiste de droite » de moins ne sera pas pour déplaire à la planète qui en remerciera le « militant » d’avoir sacrifié sa vie pour cela.

Peut-être même lui décernera t-elle, un jour, la médaille du juste à sa sortie de prison !?

Attrapant la perche tendue, Enderlin poursuit en assurant « C'est un des principaux activistes du sionisme religieux pour le droit des juifs à aller prier sur l'esplanade des Mosquées (le mont du Temple pour les juifs) ».

« Activiste », et non militant comme l’assassin ‘’palestinien’’, et « esplanade des mosquées » en lieu et place du Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme

A n’en pas douter, le rabbin « ultra-sioniste » Yehuda Glick rêvait apparemment de se convertir à l’Islam.

Le risible n’est cependant toujours pas là ! 

A la question de savoir pour quelles raisons les Juifs ont interdiction d’y prier, le ‘’pro’’ répond : « si de telles prières étaient autorisées, la réaction du monde musulman serait terrible. Imaginez un instant une cérémonie juive dans Saint-Pierre, ou une messe chrétienne à La Mecque : on ne joue pas avec les lieux saints ».

Quelqu’un imaginera t-il des musulmans priant sur le Mont du Temple ? Des mosquées construites sur les ruines d’un lieu saint du Judaïsme ?

Allons bon ! Science-fiction que tout cela évidemment !

Ainsi est justifiée la colère du monde musulman et, entre autre, l’assassinat de ces juifs désireux tout simplement de prier sur leur lieu saint. Un lieu sur lequel furent construites des mosquées, devenues ‘’saintes’’ subitement en 1967 après leur conquête par les Israéliens, et que les journalistes propagandistes se chargent de débaptiser en « esplanade des mosquées » cependant jamais citée dans le Coran.

mercredi 29 octobre 2014

Le dhimmi Daniel Cohn-Bendit

L’ex-député européen dit Dany le rouge étale son humeur sur l’antenne d’Europe 1 chaque matin. Le 28 octobre dernier celle-ci était apparemment joyeuse. A voir le titre de sa petite chronique, chacun en effet aurait pu se réjouir qu’enfin un israélien trouve grâce publiquement à ses yeux. 

C’était malheureusement sans compter sur l’idéologie fétide qui l’anime et qui lui commande d’aimer uniquement les Juifs qui battent leur coulpe sur le compte de l’Etat d’Israël.

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« Daniel Cohn-Bendit félicite le président israélien Reuven Rivlin ». La raison étant sa venue à la commémoration du massacre de Kfar Qassem qui eut lieu le 29 octobre 1956. Quarante-sept arabes israéliens, dont 15 femmes et 11 enfants âgés de 8 à 15 ans, qui revenaient des champs près du village et ignorants du couvre-feu décrété ont été froidement abattus.

Daniel Cohn-Bendit s’est donc félicité d’un geste qui se rajoute à d’autres mais que celui-ci préfère ignorer. 

Politiquement correct oblige !

Une enquête a été menée alors. Une année plus tard, une cérémonie réunissant plus de quatre cents dignitaires, dont des ministres et des membres de la Knesset, des représentants du gouvernorat militaire de la région et des notables de villages voisins, fut organisée pour une réconciliation. Des indemnités ont été versées aux familles endeuillées. Les auteurs de ces crimes ont été traduits en justice et condamnés.

Sans oublier que l’ordre de tirer à vue pendant la période du couvre-feu a été rejeté par nombre de policiers israéliens. Ce qui a fait depuis jurisprudence, commencé à établir l’éthique des corps armés israéliens et permis à la ministre de l’éducation Yuli Tamir en 2006 d’ordonner aux écoles du pays de commémorer le massacre de Kfar Qassem afin de réfléchir sur la nécessité de désobéir à des ordres qui apparaissent comme contraires à une certaine morale.

jeudi 23 octobre 2014

Petites réflexions sur la communauté internationale

Inutile de charger encore la mule de la communauté internationale. Celle-ci ayant épousé définitivement les thèses du monde musulman, spécialiste de la désinformation sur le conflit proche-oriental, revenir sur l’idéologie fétide qui mène la planète serait perte de temps. 

Par contre, il est intéressant de réfléchir sur les conclusions à laquelle celle-ci conduit.

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Rien n’y fera ! Les Israéliens désireux de vivre à Jérusalem-est, quartier où se situe la veille ville et le Mont du Temple, sont et resteront pour celle-ci des « colons ». Des purs étrangers dans un endroit pourtant construit et célébré par le peuple juif depuis des millénaires. 

Il suffit donc d’une épuration ethnique (celle de 1948 réalisée par les Jordaniens) pour qu’un territoire devienne judenrein à vie.

Idéologie fétide avons-nous écrit ? Mais là n’est pas le principal !

La municipalité de Jérusalem depuis 1967 a construit, sur la partie ouest de son territoire, des milliers de logements, dont beaucoup sont occupés de nos jours par des Arabes originaires de Jérusalem-est

Dans la partie de la ville reconnue internationalement comme israélienne, beaucoup d’entre eux de surcroît y travaillent ou festoient sans que nul ne songe à les désigner sous le vocable de « colons ».

C’est pourtant ce qu’ils sont ! 

Si l’on voit les Israéliens comme des étrangers dans la partie EST de la ville, et cette section de la citée comme ne faisant pas partie intégrante de la capitale, et donc de l’Etat d’Israël, les Arabes de Jérusalem-est ne peuvent prétendre, en conséquence, avoir accès librement et de plein droit aux avantages d’un pays devenu, pour eux, étranger par la grâce d’une décision internationale arbitraire.

Posséder le beurre, l’argent du beurre ainsi que la crémière n’étant pas dans le domaine du possible dans ce monde-ci, les Arabes de Jérusalem-est sont donc bien des colons.

Ne les qualifiez toutefois pas de la sorte, vous seriez immanquablement qualifiés de racistes et d’islamophobes par cette communauté internationale si prompt à cataloguer le juif !

mercredi 15 octobre 2014

Jusqu’où l’Europe est-elle prête à aller contre l’Etat d’Israël ?

Après la Suède qui a décidé de reconnaître bientôt la « Palestine », la Grande-Bretagne qui a voté symboliquement, à une majorité écrasante, une même reconnaissance, plusieurs états européens vont, semble t-il, s’ajouter à la liste. 

Dont la France qui assure, par la voix de son Ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, qu’elle devra ‘’ prendre ses responsabilités ’’.

Imaginons, pour l’exercice, que les vingt-sept pays européens, ainsi que le Conseil de Sécurité, se greffent à cette décision en décidant d’adopter comme frontières la ligne d’armistice de 1949.

Viendra, alors, le moment de la concrétisation de leur vœu pour la ‘’paix’’.

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Si l’on peut penser que les quartiers exclusivement arabes de Jérusalem-est seront partie intégrale de la « Palestine » à venir, qui osera exiger des Israéliens un retrait, entre autres, de la veille ville, portion de la capitale israélienne où se trouve le Mont du Temple, lieu le plus saint du Judaïsme ? Veille ville construite par les Juifs, pour les Juifs et faisant vibrer le cœur du peuple juif depuis plusieurs millénaires. 

Une évacuation considérée comme primordiale pour l’Autorité palestinienne, et déjà requise en l’an 2000 à Camp David et en l’an 2008 à Annapolis.

Les ‘’faiseurs de paix’’ contraindront-ils les ‘’Palestiniens’’ à partager ? A permettre, enfin, aux fidèles Juifs de prier librement sur ce lieu, voire à y reconstruire un temple ou à autoriser des fouilles archéologiques en son sous-sol ?

Seuls les naïfs le croiront !

L’Europe exigera t-elle le retrait total des israéliens vivant à l’heure actuelle en Judée et en Samarie ? Participera t-elle à rendre ces territoires, qui ont vu la naissance du Judaïsme, tels que l’avait rêvé Hitler pour l’Europe ? Judenrein ! Nettoyés de toutes présences juives. 

Ce nain politique obligera-t-il les ‘’Palestiniens’’ à accepter en leur sein des citoyens de confession juive ?

Seuls les idiots utiles l’assureront !

La communauté internationale, par le ‘’droit international’’, affirme être en faveur de la solution de deux états. Pour ce faire, elle s’empresse de voter la légitimation de la « Palestine » alors que le peuple israélien, dans sa très grande majorité, est en faveur, depuis plusieurs années, de la création de cet état vivant en paix à leur côté.

Quoi qu’il en soit, la solution de deux états signifie, à n’en pas douter, que l’un d’entre eux appartienne au peuple juif.

La communauté internationale est-elle prête à exiger des ‘’Palestiniens’’, mais aussi du monde musulman, une telle propriété ? Autrement dit, l’abandon pur et simple du ‘’droit au retour’’ de millions de « réfugiés » au cœur même de l’Etat d’Israël ?

Rions ! Jusqu’à présent, l’Europe n’a jamais même imposé à l’AP un contrôle sur ses aides financières.

A ces trois petites questions, n’y ajoutons pas le ridicule de voir l’Europe promettre la sécurité à l’état du peuple juif alors que ses observateurs installés en 2005 sur la frontière entre l’Egypte et Gaza ont fuit dès que le Hamas a toussé en 2007, année de son coup d’état. 

N’y ajoutons pas également le grotesque de l’Onu, incapable d’empêcher, par exemple, le Hezbollah de se réarmer comme le prévoyait la résolution 1701 en 2006 du Conseil de Sécurité.

Comme chacun le constate, ces reconnaissances ne remplaceront pas la négociation, laquelle verra les Israéliens obtenir toutes leurs exigences. Celle de leur sécurité à long terme, sur le Jourdain et par leurs propres moyens, d’un état de « Palestine » comprenant des citoyens juifs et acceptant de vivre en paix au côté de l’Etat du peuple juif, celui-ci priant librement sur un Mont du Temple partie intrinsèque de sa capitale.

Restera, pour la réflexion, l’hypothèse d’une Europe prenant absolument parti pour les revendications ubuesques ‘’palestiniennes’’, et donc des sanctions et des menaces militaires à l’encontre du ‘’fauteur de guerre’’.

Si sur le plan, économique la planète ne se réduit pas au continent européen, il est bon de se rappeler que sur le plan militaire Tsahal est quelque peu mieux équipé et professionnel que les armées de la Lybie, de l’Irak, du Mali ou encore de l’Afghanistan. Liste très peu exhaustive. On lui prête même la possession de quelques centaines de missiles intercontinentaux à tête nucléaire.

lundi 13 octobre 2014

L’antisémitisme démontré de B.D.S.

Lorsque l’on aime on ne compte pas dit l’adage. Lorsque l’on hait non plus ! Le groupuscule B.D.S. France a lancé une pétition en ligne qui a pour objectif de mettre fin au partenariat entre Sodastream et France Télévisions

Une collaboration qui serait contraire aux résolutions du Conseil de sécurité, de l’Assemblée générale de l’ONU, de la Quatrième Convention de Genève, à l’avis de la Cour internationale de justice du 9 juillet 2004 ou encore aux lignes directrices de l’Union européenne du 19 juillet 2013.

Rien de moins ! Si l’Etat d’Israël ne passe pas, après tout cela, pour un état renégat, c’est à y perdre ses cheveux !

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D’autant plus, lorsque l’on apprend que son  gouvernement autorise, contrairement aux lois du travail, la firme Sodastream à ‘’exploiter la main d’œuvre palestinienne’’ ! Sic !

Les neuf cents ouvriers ‘’palestiniens’’, licenciés par la direction pour cause de délocalisation de l’entreprise en 2015 à Lehavim, une petite localité située en plein désert israélien du Néguev, iront donc grossir les rangs des sans-emploi.

Fin, en conséquence, de ‘’l’exploitation’’ de ces pauvres ouvriers ! Merci B.D.S. !

Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, les bédouins s’en frottent déjà les mains ! Sauf que pour la chapelle antisémite B.D.S., cette nouvelle localisation s’effectuera « sur des terres volées aux Bédouins de cette région ».

« Elle est contraire aux dispositions internationales sur les droits des populations autochtones ».

Chacun se doute bien de la religion des ‘’voleurs de terres’’. Il ne s’agit pas des minorités arabe et chrétienne israéliennes. Seule la majorité juive a ce pouvoir régalien à travers l’Etat d’Israël et son droit à l’aménagement du territoire. Droit que l’on retrouve dans toute démocratie forcément respectueuse du droit local et/ou international.

A lire entre les lignes de la pétition, l’Etat du peuple juif, n’a donc également aucun droit sur le Néguev ! Tout comme sur la Judée et la Samarie !

Pire ! Cette nouvelle installation ‘’viole’’ la propriété des « populations autochtones ». Celle évidemment de la population bédouine, non sédentaire par excellence !

Le peuple juif en revanche, dont la mémoire collective internationale et l’archéologie locale narrent son passé historique sur plusieurs millénaires, n’est toujours pas considéré comme originaire de cette contrée. Et ne le sera pas !

Le bédouin, nul doute, est le combat antisémite du futur.

A quand le traçage des frontières israéliennes par B.D.S. ? Probablement celle d’un ghetto, lequel devra être contrôlé par les « colonisés ». Surveillance qui aura pour tâche principale d’inciter les Juifs à retrouver leur statut d’apatride !

mercredi 8 octobre 2014

Jugements sur l’Islam émis avant le XXe siècle

L’avis sur l’Islam de quelques érudits incontestables. Apparemment, seuls les intellectuels de nos jours affirment qu’il s’agit d’une religion de « Paix, d’Amour et de Tolérance ».

Barak Obama, David Cameron, François Hollande, pour ne citer que les plus fameux d'entre eux.

Blaise Pascal (1623 - 1662 scientifique et philosophe français) dans Les Pensées :

« La religion Mahométane a pour fondement l’Alcoran et Mahomet. Mais ce Prophète qui devait être la dernière attente du monde a-t-il été prédit ? Et quelle marque a-t-il que n’ait aussi tout homme qui se voudra dire Prophète ? Quels miracles dit-il lui-même avoir faits ? Quel mystère a-t-il enseigné selon sa tradition même ? Quelle morale, et quelle félicité ? »

Bossuet (1627 - 1704), écrivain, précepteur de Louis XIV, évêque de Meaux :

« L’islam (isme) ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers ». (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque).

Montesquieu (1689 – 1755) philosophe et écrivain français :

« C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée ». (De l’Esprit des lois, livre XXIV, chapitre 4)

« La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire »

Voltaire (1694 – 1778) écrivain et philosophe français :

Le personnage de Mahomet a fortement intéressé Voltaire qui lui a consacré une pièce de théâtre Le Fanatisme ou Mahomet et suggéré de nombreux commentaires. Il a considéré Mahomet comme un imposteur, un faux prophète, un fanatique et un hypocrite dans son œuvre Le Fanatisme, qui ne vise pas uniquement le fanatisme musulman mais aussi, indirectement, le fanatisme chrétien de son époque. Il développa de féroces commentaires dans le Dictionnaire philosophique Dans son Essai sur les Mœurs, il évoquera toutefois le grand homme qui a changé la face d’une partie du monde.

Chateaubriand (1768 – 1848) écrivain et homme politique français :

« Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols » (Mémoires, XXIX, 12)

« Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet.» (Mémoires d’Outre-tombe, 1828)

 Alfred de Vigny (1797 – 1863) écrivain français :

« Croyez en Dieu et en son prophète qui ne sait ni lire ni écrire (dans le Coran) » (Journal d’un poète, été-automne 1829)

« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte ». (Journal d’un poète, année 1831)

Gustave Flaubert (1821 – 1880), écrivain français :

« Sans doute par l’effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m’exaspère. Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme ». (Lettre à Mme Roger des Genettes / 12 ou 19 janvier 1878)

En Allemagne, on peut citer Schopenhauer (1788 – 1860) philosophe allemand :

« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde ». (Le Monde comme Vouloir et comme Représentation, 1844, Suppléments, XVII).

Tous, sans aucun doute, des islamophobes avant l’heure !