dimanche 26 avril 2009

Nouvelle politique israélienne

L’orage va-t-il gronder bientôt sur les relations israélo-américaines ? Cela serait un comble si l’on s’en tient, jusqu’à présent, au vœu de dialogues tout azimut du nouveau Président US avec les pires dictatures que compte la planète. Cependant, cette question a un sens.

Barak Hussein Obama, dès la prise de ses fonctions à la Maison blanche, a passé son premier coup de téléphone au Président de l’Autorité palestinienne Abou Mazen. Ainsi, a-t-il jugé, est montrée à la planète, l’importance qu’il porte au règlement du conflit israélo-arabe, et au monde musulman sa reconnaissance de la centralité que cette communauté lui octroie.

La réponse d’Avigdor liberman, le jour de sa nomination au ministère des Affaires étrangères, fut directe et sans ambages. Israël est tenu légalement par la feuille de route alors qu’il n’est pas « lié par le processus d’Annapolis ». Ce qui rappelle opportunément que les ‘’Palestiniens’’ ont un minimum d’obligations à remplir au nom de la paix avant tout accès à leur état, alors que le mécanisme d’Annapolis avait ancré la nécessité d’une nation de ‘’Palestine’’ dans l’esprit international sans pour autant avoir fait avancer d’un iota, par exemple, la reconnaissance d’Israël comme nation du peuple juif.

Autre discorde évidente suite à la visite du roi Abdallah II de Jordanie au Président des USA qui a jugé « constructive » ‘’ l’initiative de paix ’’ de 2002 de la ligue arabe. Un plan panarabe exigeant le retrait de tous les territoires « occupés » en 1967, y compris la partie est de Jérusalem et une juste solution pour les « réfugiés palestiniens » contre une reconnaissance totale d’Israël de la part du monde musulman. Une initiative jusqu’alors non négociable qu’Avigdor Liberman s’est empressé de rejeter en précisant que cette initiative était « une recette pour la destruction de l’Etat juif ». Pas moins.

A l’aune de ces deux premières divergences publiques, on ne peut douter que la politique israélienne va changer et que les salamalecs diplomatiques des négociations sans fin vont laisser la place à une requête de résultat. D’autant plus, lorsque le Ministre des Affaires étrangères israélien requiert la fin des « slogans creux » tel « la terre contre la paix ».

On ne peut douter également que le Premier ministre Benjamin Netanyahou, par son silence, agrée les positions qu’Avigdor Liberman claironne dans les médias. Ceci, non pas pour éviter tous risques de dissolution de son gouvernement, mais pour la simple et bonne raison que ces positions sont partagées par une majorité d’israéliens.

Ainsi, il n’y aura point d’état de ‘’Palestine’’ tant que la violence perdurera à l’encontre des Israéliens, tant que la qualité d’état nation exclusive du peuple juif ne sera pas reconnue, son lien indéfectible avec Jérusalem non discuté et l’exigence d’une solution pour les « réfugiés » abandonné.

Cette nouvelle politique aura, tout au moins, le charme de contraindre le monde diplomatique à se souvenir que toute paix sincère s’obtient entre ceux qui se reconnaissent mutuellement. Le fait d’obliger les ‘’palestiniens’’ à admettre publiquement leur refus de toutes concessions quant aux demandes israéliennes décrites ci-dessus prouvera, si besoin était, que la paix juste et durable n’est point l’objectif réellement recherché par ces derniers.

dimanche 19 avril 2009

Obama en action

Barak Hussein Obama l’a dit et répété lors de sa campagne, il sera l’antithèse de son prédécesseur et le Président américain qui résoudra les problèmes de la planète par la voie du dialogue.

Ainsi, au lendemain de son installation à la Maison Blanche, il fit son premier discours public à destination de la communauté musulmane internationale où il reconnaissait son apport dans la création et la réalisation des USA. Certains cherchent encore cette contribution, et hormis le commerce d’esclave, ils n’ont encore rien trouvé de tangible ! Mais Al-Qaïda a reçu, cinq sur cinq, le message présidentiel et Ayman Zawahiri en rit encore.

B.H. Obama, s’adressa ensuite à L’Iran lors de son nouvel an, proposa de lui « tendre sa main » et signifia être prêt à un dialogue direct si ‘’ le poing iranien se desserre ’’ un tant soi peu. Aux dernières nouvelles, l’Iran serre toujours les deux poings, continue l’enrichissement d’uranium -à des ‘’fins civiles’’- condamne judiciairement une journaliste irano-américaine à huit années d’emprisonnement pour cause d’espionnage, et Obama se tâte, tout de même, au dialogue sans condition !

Au vu de son ‘’doigté’’ politique, la Corée du Nord a maintenu son tir de missile balistique, sensé mettre sur orbite un satellite, malgré les menaces de condamnations de la part du Conseil de Sécurité. La Corée du Sud ainsi que le Japon tremblent encore d’indignation face à la lenteur de cette condamnation. Du coup, la Corée du Nord en a profité pour annoncer une remise en marche de ses centrales nucléaires !

Cuba est prêt à discuter de « tout » selon Raoul Castro. Dans l’attente de ces ‘’discussions’’ Les USA lèvent partiellement l’embargo décrété par J.F.Kennedy et son Président serre la main, sourire aux lèvres, d’Hugo Chavez le nouveau chantre marxiste international.

Ces exemples illustrent le vent que déplace Obama et l’inanité de ses menaces face à des groupes et pays qui n’ont que faire de relations pacifiques. Près de trois mois après son installation à la Maison Blanche, les alliés des Etats Unis s’interrogent quant à la politique suivie.

Et principalement l’un d’entre eux, à savoir Israël.

A entendre et lire les ‘’experts’’, en attente fiévreuse d’une discorde entre ces deux alliés, B.H.Obama ne pourra que « tordre le bras » de Netanyahou et lui imposer un état de ‘’Palestine’’. Mais dans quelle mesure, l’administration américaine pourra exiger des Israéliens de satisfaire l’exigence ‘’palestinienne’’ sans s’assurer auparavant qu’ils reçoivent, au minimum, la garantie de la fin de la violence, la reconnaissance de la part de la communauté musulmane internationale du caractère juif de leur état, celle de leur lien indéfectible avec Jérusalem et le renoncement à un droit de retour d’étrangers au sein même d’Israël ? Toutes choses impensables pour la Oumma.

Que va donc pouvoir faire Obama face à un allié désirant la paix mais récalcitrant à satisfaire la pression musulmane affirmant la prépondérance du conflit proche-oriental sur la paix mondiale ? Va-t-il satisfaire les quatorze autres membres du Conseil de Sécurité et laisser le véto US en sommeil lors d’une éventuelle condamnation ? Va-t-il imposer des sanctions et un isolement à un pays dont il sait les liens fidèles qui unissent les deux peuples ? Va-t-il refuser toute demande d’entraide ? Va-t-il considérer l’intérêt immédiat et oublier l’efficacité d’une alliance ancienne ? Va-t-il satisfaire l’exigence arabe d’une capitulation israélienne ?

A toutes ces questions, et à d’autres, le doute quant à un changement de cap politique est permis. Beaucoup de contre-pouvoirs sont en place et les valeurs universelles solidement accrochées au peuple américain pour permettre un tel basculement radical. Tel l’Europe, les Etats Unis d’Amérique se contenteront de faire les gros yeux, de blâmer Israël de temps à autres, mais ne pourront laisser tomber un allié dont on sait combien est précieuse sa place et sa force de dissuasion au Proche-Orient.

L’avenir d’Israël est, semble t-il, plus entre les mains de ses propres dirigeants. Gageons, qu’actuellement, il est entre de bonnes mains.

vendredi 10 avril 2009

Le journalisme n’est plus un métier mais une idéologie

Il fut un temps où le Journalisme avait comme vocation d’informer. De nos jours, ce métier a perdu sa déontologie pour être entre les mains d’idéologues à la quête de sympathisants à leur cause et/ou de lecteurs payants. Les rédactions publient pour les cibles qu’elles se sont choisies et non plus selon l’éthique du métier.

Rue89 nous en donne un parfait exemple. Pierre Haski, que l’on ne présente plus pour s’être imposé comme ‘’expert’’ dans les débats télévisuels, nous a annoncé la tenue de « (…) deux journées de débats et de rencontres (…) sobrement intitulées ‘’ Israël-Palestine : état des lieux ‘’ ». Débats modérés et organisés par Esther Benbassa qui a pour ambition de les poser autour du « (…) rôle de l'histoire dans la perception de ce conflit, (…) des débats actuels, (…) de la recherche scientifique sur le sujet, et les solutions qui se profilent sur le terrain pour mettre fin à ce conflit qui dure depuis plus de soixante ans ? ».

C’est ainsi qu’ont été invité à débattre un panel d’individus connus, listés par Rue89, et que l’on a du mal à qualifier d’experts du conflit tant, pour la plupart, est connu leur antisionisme primaire.

Leila Shahid, que l’on ne présente plus ; Regis Debray écrivain; Gilles Paris, journaliste au quotidien Le Monde ; Denis Sieffert de Politis, feuille d’extrême gauche ; Vincent Geisser publié depuis des années par le site Omma.com ; Avi Shlaïm, Juif israélien se définissant comme « nouvel historien » ; Dominique Vidal journaliste du Monde Diplomatique ; et Esther Benbassa, universitaire, dans le rôle de modératrice. Il ne manquait plus, ou presque, que Charles Enderlin.

De cette qualité d’antisionistes notoires, Rue89 n’en dira pas un mot mais soutiendra, au contraire, « (…) cette rencontre citoyenne importante » (sic). Choix banal par les temps qui courent en Europe, et qui ne peut que conforter l’idée de la fin du métier de journaliste.

Choix idéologique confirmé lorsque l’on se rapporte au reportage du même ‘’journaliste’’ au sujet de ces ‘’débats’’. Si l’article indique clairement la difficulté pour un israélien de débattre librement et en toute sécurité en France du conflit qui le concerne directement, si le lecteur saura que le ministre plénipotentiaire de l'ambassade d'Israël, Sammy Ravel, tient des « propos lénifiants », et qu’il fut repris dès « la fin de sa première intervention » par la ‘’modératrice’’, le lecteur ne sera pas dans la confidence de ce que ce diplomate a dit.

En revanche, il sera ‘’informé’’ de la « colère » de « Leila Shahid, la représentante palestinienne, (qui) avec son habituel talent oratoire, a réagi au quart de tour aux paroles douces du représentant d'Israël : ‘’C'est une insulte de vous entendre. Vous prenez le monde occidental pour des imbéciles qui ne savent pas ce qui se passe. Ce discours de propagande ne passe plus. C'est une insulte à leur intelligence. Chaque mot est une fabrication qui ne passe plus’’ ».

Le choix de mots, de citations, de qualificatifs sont les attributs des journalistes. Dans cet exemple, nul doute demeure quant à l’orientation politique de Rue89 et de celui qui se désigne comme ‘’journaliste’’. On ne peut donc être étonné ensuite que la présence d’un diplomate israélien soit conspuée par une poignée d’individus, puis qu’il soit « exfiltré par les policiers par une porte de derrière » tel un malpropre.

Les journaux, et les sites qui se définissent comme tels, ont une lourde responsabilité dans le climat malsain qui règne en Europe. Ils sont responsables de la haine montante envers les Israéliens, mais aussi les Juifs Européeens. Seront-ils tenus pour responsables si malheur devait arriver ?

Bien naïf celui qui le prétendra.

mardi 7 avril 2009

Annapolis or not Annapolis ?

Barak Hussein Obama a profité d’un discours devant le parlement turc à Ankara pour rappeler à l’ordre le nouveau gouvernement israélien. « Je voudrais que cela soit clair : Les Etats-Unis appuient avec force l’objectif des deux Etats pour deux peuples - Israël et la Palestine - vivant en paix et en sécurité l’un à coté de l’autre (…) C’est le but auquel sont associés Israéliens et Palestiniens, et des personnes de bonne volonté dans le monde entier. (…) Ceci est la visée agréée par les parties, avec la Feuille de route et Annapolis. C’est l’objectif vers lequel je tendrai de manière active en tant que président ».

La réponse du ‘’berger’’ US au ‘’mouton noir’’ Avigdor Liberman est clair et sans ambages. Le processus d’Annapolis devra se poursuivre. (Il est intéressant de noter par ailleurs, que le Président des USA n’a pas tenu ce langage à Londres, Strasbourg, Baden-Baden ou Prague mais dans le premier pays musulman qu’il visite en tant que tel. Faut-il y voir un signe pour Israël ? L’avenir le dira).

On peut effectivement s’interroger sur le bon sens de poursuivre un processus ayant déjà duré plus d’une année et qui, tels ceux de Taba, Camp David ou Oslo, n’a abouti qu’à des incompréhensions et des victimes de part et d’autres. Il y a donc en ces négociations perpétuelles quelque chose de viciée, et il serait bon d’y remédier avant toute reprise de négociations nouvelles et sérieuses devant mener vers la fin du conflit.

Ainsi, la reconnaissance de l’état d’Israël comme état juif par la partie ''palestinienne'', ainsi que par la communauté musulmane internationale, serait un bon début. La fin de toutes violences et de terreurs une excellente suite. Le renoncement définitif à tout « droit de retour de réfugiés » au sein d’Israël sera une belle preuve de désir de paix. Et la reconnaissance du lien juif plurimillénaire avec Jérusalem probablement la fin de toute belligérance et le début de l’indépendance de l’état de ‘’Palestine’’.

Mais sauf à rêver, qui pourrait prétendre que les ‘’Palestiniens’’ sont prêts à répondre aux exigences israéliennes minimales décrites ci-dessus ? Qui peut prétendre que lors de négociations à venir les ‘’Palestiniens’’, mais aussi la communauté musulmane internationale, sont prêts à ces concessions ? Personne de réaliste et de bonne foi ! A quoi bon, donc, continuer un processus, que tous savent, voué d’avance à l’échec ?

Il fut un temps, où la politique réglait, peu ou prou, les problèmes entre les humains. De nos jours, cette dernière n’est plus qu’un spectacle planétaire où Barak Hussein Obama n’est pas la moindre des stars. Le nouveau gouvernement israélien a décidé, pour le bien de son peuple, de ne plus valser sur le refrain bien connu des concessions unilatérales. Cette nouvelle partition est actuellement jouée en solo, mais gageons que les véritables mélomanes d’une paix juste et durable pour la région le rejoignent sous peu.

dimanche 5 avril 2009

Exigences de preuves

Avigdor Liberman, lors de sa prise de fonction au ministère des Affaires étrangères, a affirmé qu’Israël n’est pas engagé par le processus d’Annapolis. Ce qui a permis à Tsippi Livni -cheffe de Kadima et co-partenaire de ces négociations- de confirmer que son choix d’être dans l’opposition est le bon, et aux ‘’Palestiniens’’ d’attester publiquement, encore une fois, du refus israélien de toute paix. Mais qu’en est-il exactement de leur propre appétence à la paix ? L’histoire passée et récente nous délivre une excellente exégèse à ce sujet.

Le 13 septembre 1993, Itshak Rabin (z’’l), Shimon Pères et Yasser Arafat paraphèrent les accords dits d’Oslo ayant pour objectif d’aboutir à une paix définitive. De cette date, aux élections législatives israéliennes de 1996, des dizaines d’attentas, suicides ou non, commis par les affidés (mais pas seulement) du Fatah et/ou du Hamas firent voler en éclats la confiance israélienne en son ‘’partenaire’’ et permirent l’arrivée de Benjamin Netanyahou aux responsabilités pour son programme sécuritaire. Shimon Pères, véritable initiateur des « accords d’Oslo » fut battu. Benjamin Netanyahou étant notoirement contre, on peut sagement s’interroger sur le désir de paix ‘’palestinien’’ d’avoir favorisé et facilité, ainsi, son élection suite à l’assassinat d’Itshak Rabin (z’’l) !?

En 1999, la sécurité revenue, le peuple israélien mandata le chef du parti Travailliste Ehud Barak pour un nouveau mandat de négociations de paix. Après avoir ordonné en l’an 2000 un retrait unilatéral du Liban, qui autorisa de ce fait des opérations commandos du Hezbollah sur le territoire israélien ainsi que le déclenchement, plusieurs années plus tard, d’une guerre (démontrant, en cela, que l’occupation israélienne de territoires n’est qu’excuses), le Premier ministre d’alors s’engagea dans les négociations de Camp David. Ces pourparlers, dévoilant l’intention israélienne manifeste de se retirer de la Judée, de la Samarie et de la bande de Gaza, et la partition de Jérusalem, menèrent, malgré tout, au déclenchement de « l’intifada des mosquées ». Guerre de rue programmée par le ‘’partenaire palestinien’’ pour cause de refus israélien d’un accord sur le « droit au retour » de centaines de milliers de réfugiés sur son sol. Le quidam observateur s’interrogera donc quant à la volonté ‘’palestinienne’’ de reconnaître l’état d’Israël comme état juif !?

Ariel Sharon, après avoir lui aussi ramené la sécurité sur le territoire israélien par l’« opération rempart » et la construction de la clôture de sécurité, décida de donner une occasion supplémentaire aux ‘’palestiniens’’ de prouver leur volonté de paix en se désengageant unilatéralement de la bande de Gaza. Ce territoire, tombé ‘’démocratiquement’’ peu après entre les mains du Hamas, ne devint pas une zone pacifique mais une base militaire tournée vers la libération de la ‘’Palestine’’ du nord au sud et du Jourdain à la mer méditerranée. Ce qui contraignit le gouvernement Olmert à autoriser l’opération « plomb durci » afin de mettre un terme aux dizaines de missiles journaliers atterrissant sur le sol israélien. Là encore, l’observateur honnête restera sur sa faim quant à l’intention affichée des ‘’Palestiniens’’ d’une paix définitive !

Ehud Olmert, quelques jours avant la passation de pouvoirs, révéla qu’il présenta, il y a quelques mois, à Abou Mazen une carte détaillée dessinant les contours d’une nouvelle ‘’Palestine’’ englobant les quartiers arabes de Jérusalem, et lui proposa une discussion étalée dans le temps sur la vielle ville. La réponse ‘’palestinienne’’ tarde encore à venir vu que le « droit au retour » de ‘’réfugiés’’ n’est pas mentionné. A quoi donc a servi Annapolis ?

L’examen succinct ci-dessus justifie donc la réaction d’Avigdor Liberman, et oblige à l’avenir le gouvernement de Benjamin Netanyahou à réclamer, avant toute nouvelle négociation, des preuves sincères et réciproques du désir de paix ‘’palestinien’’. Telles des déclarations publiques d’un renoncement au retour de ‘’réfugiés’’ en Israël, d’une reconnaissance pleine et entière de ce pays entant qu’état juif et de la fin de toutes violences et terreurs à l’égard de celui-ci.

Sauf à accepter totalement et inconditionnellement ces conditions minimales, les ‘’Palestiniens’’ démontreront encore leur attente d’une capitulation israélienne et non pas celle d’une paix juste et durable pour la région.

A l’aune de cette triste réalité, le concept d’un état ‘’palestinien’’ a donc peu d’espoir d’aboutir.